Élodie Moreau
De la Musique pour les sourds
Samedi soir. Le téléphone fonctionne sans cesse ; les soucis du prince. Soucis et misère, les surprises d’un emménagement : Blanche-Neige dans la cave ! Ni vu ni connu, atterrissage sur le ventre, des cloches aux pieds.
« - Pas de chauffage ! sans bois ni charbon ! je dois manger ma terre !
- Tous nos regrets, ma fille. Voudriez-vous être libre ?
- Je ne puis dire combien je me sens misérable !
- On s’habitue ! Ne vous faites pas de mauvais sang…Le hasard a souvent son mot à dire, il faut savoir saisir l’occasion au vol. »
Tout s’ébruite, Mme Dufour, la vendeuse de cacahuètes, ne compte pas sur lui pour faire fortune. Première décision : comme au cinéma, elle achète un gangster, petit et …très cher. Un homme sans âge, dix mille fois assassiné (le maquillage, quelle illusion !).
L’homme, un vrai baromètre : homme-orchestre. Chanter et peindre dans le couloir avec fouet et pinceau. Un pas en avant : les résultats sont bons, trop bons ! Le bifteck dans la boîte à idée ! Ses lettres arrivaient, un million et demi de lettres ! De la viande ! De la viande ! Révolution à la radio, attraction touristique. Qui peut en dire autant ?
Agitation, le calme est troublé…Onze heures moins dix-sept, l’heure de la maîtrise. Comme Minou Drouet, Laurent Moonens tire des conclusions : « - …Filez, ou je tire ! »
Nous n’en verrons jamais la fin mais tout a une fin.